Cora ∆ madness

Cora

"this is madness Pan. It's a really bad idea."

Identité

Coraline ne se souvient même plus de sa date de naissance. À l'orphelinat où elle était on célébrait son anniversaire tout les 16 mai, date à laquelle on l'avait trouvé devant la porte. Elle est âgé de seize ans et six mois. On l'a souvent surnommée Co' ou encore Cora. Cora est le diminutif de Coraline, le prénom qu'on lui avait attribué, mais qu'elle n'aimait pas du tout. La petite venait cependant avec un paquet sur lequel il était inscrit Charlotte, un prénom très français qui n'avait pas été approuvé à l'orphelinat. Cora est célibataire, cependant cela pourrait changer si seulement elle savait comment s'y prendre pour pouvoir attirer son attention de façon à ce qu'il s'intéresse réellement à elle. Cora est une sorcière et donc possède quelques tours dans sa manche qui lui ont sauvés la peau plus d'une fois. Elle aime danser avec les fées le soir, s'amuser, chanter et encore plus la médecine par les herbes.

L'avatar choisit est celui de la magnifique Danielle Campbell. I love you

Caractére

Cora n'a jamais été très douée pour la communication. Elle a cependant toujours été franche et directe. La jeune femme ne se précipite jamais dans rien. Elle prend toujours le temps de réfléchir avant d'agir. Cora est loyale à Peter, avec Peter elle a trouvé ce qu'elle n'a jamais eux: une famille. Un grand frère comme elle aurait aimé avoir, mais cela Co' n'osera jamais se l'avouer. La jeune fille est sérieuse lorsque c'est le temps d'être sérieuse, mais comme tout les enfants perdus, elle a un petit côté joueur. Ce côté est très présent dans ses interactions avec Félix. Elle se joue souvent de lui, après tout, être une sorcière et avoir des pouvoirs doit avoir ses avantages pour s'amuser.

Cependant, lorsque que Peter lui demande d'accomplir quelques chose, Cora s'organise de façon débrouillarde. Cora à horreur de l'échec et n'échoue presque jamais. Cora a la patiente d'un ange. Certains disent que celle-ci a attendu au moins cents ans avant de gagner la confiance de Peter, mais ceci ne sont que des dires, personne ne semble exactement savoir depuis combien de temps Cora se trouve sur l'île. Elle est efficace, c'est pour cela qu'on lui fait confiance. Elle accompli ses devoirs sans hésitation, mais elle n'a aucun remords à ne pas faire ce que Peter lui dit si elle trouve ses idées bêtes. Cora est aussi une jeune fille d'un calme total. Elle a une grande tendance à suivre ses intuitions, se sont souvent ceux-ci qui la guide dans l'utilisation de sa magie ou bien encore de ses choix face à tout.

La jeune femme a aussi ses défauts, comme tous et chacun. Cora est une fille bornée, rien ne l'empêche d'obtenir ce qu'elle veut ou bien de faire ce qu'elle fait. Une fois qu'elle a une idée en tête rien n'y personne ne peut la faire changer d'idée. En fait, personne sauf Peter et parfois Félix. Elle est d'une exigence extrême. Cora exige la perfection envers elle-même et envers les autres. Leur place à Neverland doit être méritée. Elle a une tendance à faire des choses imprudente et de façon impulsive. Elle s'en sort toujours lorsqu'elle fait quelques chose ainsi, mais cela a une forte tendance à arriver. Cora est méfiante, du à sa vie elle a une tendance à se méfier des gens, il faut donc un temps pour l'apprivoiser et gagner sa confiance. Cora n'est pas le genre de fille qui va parler à tout le monde. Elle est une solitaire, il faut s'approcher d'elle pour pouvoir lui parler et parfois elle ne répondra pas, il faut savoir qu'elle est snob dans le choix des gens à qui elle adresse la parole de façon amicale.

Les hobbies de Cora se comptes sur les doigts. La jeune fille adore dessiner ou peinturer. Elle aime danser avec les autres enfants perdus lorsque Peter joue de la flute pour eux. Cora aime aussi les longues marches seules dans Neverland. Elle aimait aussi lire auparavant lorsqu'elle était à Londres. Dans ses manies, Cora a l'habitude de reprendre les gens lorsqu'ils disent des choses qu'elle n'aime pas. Elle se gruges les ongles en période de stress. Cora a aussi cette manie de s'attacher les cheveux lorsqu'elle est énervée et de jouer avec une mèche si elle est gênée. Elle soutient cependant toujours le regards des gens, puisque ces à travers les yeux qu'on peut voir l'âme de quelqu'un.

De l'autre côté du pc

Ekoala. Lori. 22 ans en avril. Canadienne/Québécoise. Joue du ukulélé. Chante sous la douche. Aime écrire et lire. Gros problème face aux séries tv, incapable de s'en passer. Amoureuse des chats. Code validé par Peter

Code:: [color=#660000][b]■ Danielle Campbell[/b] → Cora C. Snow [url=adresse du profil][i]Personnage[/i][/url][/color]

Code by Sybline

Cora ∆ madness Tumblr_mzuaq1vQEV1rsyy5ro1_500

Once Upon A Time ...

"I just didn't want to grow up."

« C'était le printemps 1890, ils étaient fou amoureux. Il y a cinq ans, il l'avait vu assise sur ce banc de parc en train de lire et aussitôt il était tombé sous le charme. Ils s'étaient rencontrés sur un banc de parc dans un des nombreux parc de Londres. Il l'avait ramené à cet endroit magique où tout avait commencé. Il lui avait proposé de s'asseoir sur ce banc merveilleux qui avait été celui du début de leur histoire. Une fois assise, il posa un genou au sol et sortit une toute petite bague simple de sa poche. Il lui demanda de l'épouser. Elle dit oui, ils vécurent ensuite très heureux et eurent des enfants qu'ils aimèrent de tout leur cœur.»

C'est ainsi que j'aurais voulu que mon histoire se déroule. Je suis née Charlotte, du moins c'est ce que le paquet dans lequel on m'a déposé devant l'orphelinat disait. On m'a appelé Coraline, un prénom que j'ai tout autant détesté que Charlotte. Je suis née à une date inconnue, mais on m'a déposé devant l'orphelinat le 16 mai 1896. C'est cette date qui me fut accordée comme anniversaire. Un enfant, sans maison, sans nom, sans date de naissance précise, une gamine sans histoire, sans racine. Du moins, c'est l'impression que j'avais.

J'ai été l'une de ses enfants qui vivait à l'orphelinat. On dit que le plus jeune nous étions, le plus facile il était d'être adopté. Ce ne fut pas mon cas, j'étais un bébé qu'on oubliait de mettre en adoption, parce que j'étais trop petite à l'avis des sœurs qui s'occupaient de l'orphelinat. Un bébé bien trop chétif pour qu'on veuille de lui, tout le monde croyait que j'étais malade lorsqu'on me regardait. Mon teint était loin d'être blafard, trop foncé pour être élevée par une bonne famille blanche, trop pâle pour être une petite nègre. Certains croyaient que j'avais probablement des origines espagnoles, mais le prénom avec lequel j'étais venu en disait autrement. J'étais un mystère, l'enfant qu'on ne pouvait expliquer. Probablement la fille d'une catin espagnole arrivée ici pour tenter de se sauver de chez elle. Il se passa ce qui suit, je ne fus jamais réellement adoptée. J'étais l'enfant que tous et chacun connaissaient à l'orphelinat, celle qui ne quitta jamais l'endroit.

Ma première rencontre avec Peter Pan remonte à l'année 1904. J'avais alors que huit ans. L'orphelinat ne faisait jamais aucune activités, mais un jour un mystérieux hommes vint avec une nouvelle qui mis un peu de vie dans cet endroit sinistre que j'habitais. Nous étions invités au théâtre. Nous étions invités à aller voir la nouvelle pièce de JM Barrie. Peter Pan cet univers qui me fascina tant comme petite fille. Du haut de mes huit ans, portant ma plus belle robe et les cheveux en une jolie natte. Mes yeux devaient certainement briller dans cet univers dont je me mis à rêver presque toutes les nuits qui suivirent ma rencontre avec cet endroit. Bien entendu, à l'orphelinat on tenta de nous convaincre que ce n'était qu'une histoire, mais au fond de moi, je savais bien que cet endroit était réel.

Je grandissais, les années passaient, jamais le monde de Peter Pan ne me quittait d'un instant. J'étais à l'école et je dessinais le fameux personnage dans mes carnets, je pensais à ce monde: Neverland. J'en rêvais jours et nuits. Rien ne me faisait penser à autre chose, je souhaitais faire partit de ce monde. Ce souhaitait plus que tout faire partit des amis de Peter Pan. J'étais une jeune filles solitaire, de toute façon, j'avais l'habitude maintenant. Chaque fois qu'une adoption avait lieux, nous revêtissions nos plus beaux habits, sœur Mollie nattait nos cheveux en nous disant d'être polie et de montrer que nous étions de bonnes petites filles. Pourtant, à chaque fois, quelques chose devait clocher chez moi, je faisais de mon mieux pour être la gentille parfaite petite fille que des parents voudraient, mais je n'étais jamais choisie. J'étais devenue celle qui ne quittait pas l'orphelinat. De nouveaux enfants arrivaient, mais moi je ne partais jamais.

Puis, j'eux douze ans, l'âge où l'on est considéré trop âgé. Cet âge ingrat où plus aucune famille ne souhaite nous avoir, sauf si c'est pour devenir leur esclave. Je devins donc une assistante à l'orphelinat. On me demandait de changer les couches des bébés, d'aider à servir et préparer les repas des plus jeunes, de nettoyer après les repas. En échange de mes services, j'avais droit de rester à l'orphelinat et d'accéder à la bibliothèque de celle-ci. J'étais si occupée à l'orphelinat que j'en oubliais Peter Pan. J'oubliais cette vie que j'aurais voulu avoir, je devenais une adulte, tout en étant encore une enfant. J'en pleurais la nuit, c'était douloureux d'avoir autant de responsabilité et aucun moment pour s'amuser à cet âge.

C'est lors de mon seizième anniversaire que je fus surprise. Sœur Mollie et toute les autres nonnes s'étaient mises ensemble pour se procurer un livre qui venait de sortir. Elles avaient amassé la somme exacte avant d'ensuite aller voir le fameux JM Barrie. Elles m'avaient offert une copie du fameux livre de JM Barrie. Le livre de l'histoire qui m'avait fasciné. C'était ma propre copie, que pour moi du livre de Peter Pan. Je pleurais. J'avais osé oublié cet histoire dont j'avais rêvé si longtemps. Comment avais-je pu bien mettre ceci de côté? C'est ce jour-là aussi qu'on m'annonça que bientôt il était temps que je quittes l'orphelinat où que je donnes ma vie au Seigneur. C'est-là que je prenais la décision la plus douloureuse de ma vie. Je quittais cet endroit qui m'avait vu grandir. Je partais vêtue de la seule robe que je possédais, une paire de chaussure et un petit baluchon créer avec la couverte, dans laquelle j'étais arrivée à l'orphelinat emballée, dans lequel toute mes possessions se trouvaient. Le livre qu'on venait de m'offrir, mon billet de la pièce de théâtre, une bouteille de lait vide, du pain et une pomme.

La vie dans la rue n'était pas du tout facile. Je pleurais beaucoup, peu de gens se souciaient de moi. J'en vint même à me convaincre que je ne valais pas grand chose et que de retourner à l'orphelinat pourrait toujours être possible, mais je savais que je serais incapable de faire le vœux de donner ma vie à ce Seigneur qui n'avait jamais rien fait pour moi. Il m'avait laissé dans cet orphelinat, abandonné. Un soir, j'étais dans une petite ruelle. J'avais peur, j'avais froid, j'avais faim. Je pleurais, je m'imaginais un repas qui apparaissait devant moi à ce moment-même. Rien d'extravagant, j'imaginais un croissant et une pomme avec un verre de lait chaud. Quel fut ma surprise qu'après avoir fait un geste de la main pour faire apparaitre la nourriture elle apparu. Je cru au départ que c'était mon imagination qui me jouait des tours. Que ma faim était rendue si grande que je voyais de la nourriture. C'est en voyant un rat s'approcher de ma nourriture que je compris ce celle-ci n'était ma imaginaire. Je me dépêchais de manger le tout, de peur que cela disparaisse. Ce fut là que je découvris ce dont j'étais capable. Ces pouvoirs que j'avais toujours ignorés. C'est ainsi donc qu'un soir encore dans cette ruelle je me demandais si c'était réellement possible de quitter cet endroit qu'était Londres, si je ne pouvais pas aller à Neverland. Peut-être que les histoires racontés par Wendy n'étaient pas des histoires, mais qu'elles étaient réelles. Je réclamais donc à moi-même un portail pour quitter Londres. Un portail qui me mènerait à Neverland. Au pays imaginaire, ce pays dont je rêvais tout les soirs.

Ce ne fut presqu'une demi surprise qui m'envahi lorsqu'un portail fit son apparition devant moi. Je prenais une grande respiration. Je décidais de laisser derrière moi tout ce qu'on m'avait laissé pour partir. Je commençais une nouvelle vie. C'est en arrivant de l'autre côté que je compris que l'endroit où j'avais atterrie était encore mieux que dans mes rêves les plus fous. J'étais là où j'avais voulu me trouver et encore mieux: J'étais à quelques pas ce celui que je voulais rencontrer: Peter Pan. Le jeune garçon sourit en me voyant, c'était comme si mon arrivée avait déjà été planifié. J'étais la première fille a arriver depuis Wendy Darling et certainement pas la dernière. J'étais la première aussi à ne pas arriver par le rêve, mais par un portail. Peter me prit sous son aile. Il m'apprit tout ce que je devais savoir pour maîtriser la magie que je venais de découvrir. Avec son aide je devenais de plus en plus forte avec les jours qui passaient.

Cependant, une chose horrible arriva. Cette femme qui s'était emparée du Jolly Roger, celle-ci commençait à prendre de plus en plus de place. Elle avait commencé par faire disparaître Hook. Ce pirate qui était loin d'être ce qu'il était dans la version que j'avais connu. Il n'était pas un pirate cruel et détesté de Peter. Hook était notre ami, notre allié même. Cet envoie au monde réel nous chamboula un peu. Peter était convaincu que nous pouvions tirés les vers du nez d'Isabella pour retrouver Hook. Il suffisait de jouer bien aux jeu. Parce que la vie à Neverland n'est qu'un jeu. Puis pire, ce fut Peter qui subit ce même sort. Isabella le fit disparaître, créant une pause dans ce jeu que Peter avait créer. Un plan pour trouver Peter fut mis en place. On le chercha dans tout les coins de Neverland, on mis les fées à sa recherches, les sirènes n'eurent d'autre choix que de nous aider. Mais nous en venions à la conclusion qu'il avait bien disparu de Neverland. Qu'il se trouvait dans un autre monde, un autre endroit que très peu souhaitaient rejoindre. Ce fut Clochette qui accepta d'y aller pour le retrouver. Pendant ce temps, moi et Felix allions gérer ensemble Neverland. Ce ne fut pas une tâche facile. Déjà qu'entre Felix et moi c'est compliqué. Nous étions dans les enfants perdus les plus âgés. Nos avis divergèrent à plusieurs reprises, mais un terrain d'entente était toujours trouvé. Puis Clochette revint avec Peter. Il avait changé, personne ne savait ce qui s'était passé lors de se temps. Mais maintenant que Peter est de retour, nous savons très bien que le jeu peu continuer et que Peter Pan n'échoue jamais.

Code by Sybline